Titre du blog : lettres de la campagne
Auteur : sorel
Date de création : 17-05-2008
Auteur : sorel
Date de création : 17-05-2008
posté le 05-08-2011 à 11:30:10
La BD s'empare de l'Histoire.
La bande dessinée apporte sa contribution dans l'imaginaire de l'Histoire qui passe par des actes héroïques, l'action.Elle ne se prête pas à la réflexion, à la synthèse, mais devient efficace dans la visualisation des faits d'armes. On est au coeur de la bataille, et comme le cinématographe elle permet des effets de zoom, des arrêts sur image, toute une syntaxe de l'image qui se substituant aux mots rend plus efficace le détail choisi. Le mot n'est qu'une indication sommaire qui servira de liaison entre les images. En revanche important sera le découpage (et la mise en page) qui correspond à des mouvements de caméra qui va chercher le détail signifiant, l'expression, la valorisation d'un objet.
La succession des images, le rythme de leur apparition sur l'écran de la page, va jouer pour l'énergie du récit.
On peut y glisser des variations, des digressions sans que cela nuise au rythme donné ce qui dans le monde des mots rend la lecture difficile.
On peut avoir d'un seul coup d'oeil, la vue d'ensemble et la succession des détails.
Le glissement d'un fait d'Histoire dans l'espace d'ordinaire occupé par des récits de pure invention, transporte la réalité des faits historiques dans le monde du légendaire.
Du vrai à l'imaginaire, le chemin est court.
Commentaires
ah, vous aussi vous connaissez de ces traitrises des soi-disant ami(e)s ?... J'en fus servi depuis décembre dernier ! Donc, il y en a à tous les âges.
Ca fait le ménage ! Prenez-le de façon positive, vous en souffrirez moins. Et,
ma foi, vous avez l'assurance de mon amitié par-delà les ennuis technologiques de l'informatique ! Les oeuvres nous y trouvent au centre des Philia et Sophia !.. Comment ferai-je ? Je jonglerai ici ou/et là (l'autre samedi matin, étais carrément au bureau de la patronne de Douarnenez Repro, les clients pensant que j'y travaillais , elle m'avait autorisé à naviguer sur l'un de ses postes plus d'une heure, cette Véronique m'a "lavé" la profonde tristesse autrement...) Ciel très mouvant ici aussi ; hier : crachin de cinq heures l'aube, grosse pluie de matinée, soleil violent l'après-midi suivi d'une pluie puis d'un crachin du soir : résultat , une céphalée tarabiscotée matinale ! J'ai usé d'une médication bouddhiste : sans autre cachet qu'une profonde respiration très très lente, et , tout ça passa (une posologie personnelle que je vous livre).... Aujourd'hui , ciel voilé, puis bleu, puis gris, vent chassant nuages et pluie, ciel d'acier, lisant dehors dans un transatlantique Lytta Basset (son fils s'est suicidé à vingt-quatre ans ; la fille de Patrick Poivre d'Arvor aussi), j'ai dû me vêtir d'un pull couleur brique dessus ma chemise légère... On ne sait plus comment se bien vêtir, il n'y a plus de saison (je savais les repérer, écolier, facile avec l'herbier, les arbres et les fruits ; désormais, les psalliotes et lydnes se trouvent aux racines des arbres, dans le creux d'un nid de fougères, quand il ne faudrait voir ces pied-de-mouton et champignon de souche qu'à mi-septembre, c'est dire que les méridiens ont décliné d'un degré - voire plus - ; nous penchons cher ami, nous penchons du côté où tous allons choir ! Bref, le monde est tournicoté, fou et croulant en Bourses....) Belle fin d'après-midi malgré tout ce foin !
Pas mal la comparaison avec Pollock. Comment allez vous poursuivre votre entreprise sans ordinateur ?
Ciel changeant comme ceux que l'on croit nos amis.
Jeune lecteur des Spirou/Bob Morane / Sylvain Sylvette / Tintin (forcément)/
Enki Bilal (en ces temps derniers)/
J'en vois même chez Pollock ( La forêt enchantée, 1947 ; collection Peggy-Guggenheim....Tous ces entrelacs de formes, lignes et rouge/noir qui racontent une histoire à la façon de cette toile-page ouverte 221x114...)
A votre bon jour Vénusien,
depuis mon autre ordi mien
(pas si facile de maniement interne, je n'arrive plus à placer mes dessins/musique choisie... )